Courte absence ...
Après des journées certaines, incertaines, certaines, nous repartons pour un tour dans les espaces intersidéraux . On ne s'en rend pas compte mais naviguons au sein du cosmos dont on ne sait pas encore s'il est fini -où s'arrête-t-il ?- ou bien infini . Et alors que dire sinon rien, peut-être que le rien est infini aussi !
Soit, mais il y a toujours l'épineuse question de la galette des rois. Quand et pourquoi la sert-on ? J'ai eu la réponse dans O.F., notre quotidien et le dictionnaire : normalement, l'Épiphanie, célébration de l'incarnation du Dieu en un homme, ici Jésus, se célèbre le jour où les rois mages sont arrivés pour voir le bambin, douze jours après sa naissance et lui donner des cadeaux : de l'encens et de la myrrhe. La grotte devait sentir bien bon ... Mais comme la date tombe souvent en pleine semaine, "ils" ont fixé ça au dimanche après le jour de l'an.
Mais la galette, nous, on en a pour un mois à en déguster. La première fois, c'est appréciable, on ne se souvenait plus du goût, Au fil des semaines, on se lasse ...
Alors vive les oranges ! Qu'elles vous rendent l'année colorée et fruitée.
Baisers zestés !